La Marche des Fiertés de Paris aura lieu samedi 24 juin 2017 |
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samedi 18 mars 2017
La 40e Marche des Fiertés LGBT+ de Paris aura lieu le 24 juin 2017
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samedi 26 avril 2014
Marche des Fiertés LGBT et grand concert le 28 juin à Paris
A vos agendas: la Marche des Fiertés LGBT de Paris se déroulera le samedi 28 juin et partira du Luxembourg pour se terminer par un grand concert place de la République.
dimanche 1 juillet 2012
Dernière Gay Pride avant le mariage!
Si tout se passe comme promis, la Gay Pride 2012 était la dernière avant l'ouverture du mariage aux couples homosexuels en France. Elu en mai, François Hollande s'y est engagé pour le printemps 2013 au plus tard.
samedi 16 juin 2012
Mariage homo: les intégristes se mobilisent
Ils ont bien l'intention de (tenter de) gâcher les Gay prides qui ont déjà commencé dans toute la France avec, en point d'orgue, celle de Paris le 30 juin.
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lundi 27 juin 2011
Mobilisation politique à la Gay Pride de Paris
La Marche des fiertés lesbiennes, gaies, bi et transsexuelles (LGBT) a rassemblé entre 36.000 et plus de 500.000 personnes ce 25 juin 2011 à Paris, selon la préfecture de police ou l'Inter-LGBT.
Quel que soit le chiffre, la foule était plus nombreuse que l'année précédente, signe de la mobilisation à l'approche de l'élection présidentielle de 2012. D'ailleurs, le slogan de cette Gay Pride 2011 était: "En 2011, je marche, en 2012, je vote".
dimanche 17 avril 2011
La Gay Pride 2011 l'affiche mal
Actualisé avec le retrait de l'affiche
C'est un coq tout blanc à la crête toute rouge fièrement dressée, le poitrail ceint d'un boa de plumes rouge également, qui proclame: "Pour l'égalité. En 2011, je marche, en 2012, je vote". Nationalisme franchouillard, cliché de la grande folle, mâle dominant: l'affiche de la Marche des Fiertés 2011 lesbiennes, gaies, bi et trans parisienne se fait voler dans les plumes.
Au point que l'Inter LGBT y a finalement renoncé pour se concentrer sur l'organisation de la manifestation et le message politique, a expliqué son président, Nicolas Gougain, à LToutes.
L'association Le Refuge, qui héberge et aide des jeunes victimes d'homophobie, avait déploré dans un communiqué cité par "Libération" que "les personnes homosexuelles soient stigmatisées et réduites à des volatiles affublés de boas" et dénonce le recours à des "stéréotypes". "Nos psychologues passent un temps infini à déconstruire ces clichés intériorisés par les jeunes qui refusent leur homosexualité et sont dans un déni d'eux-mêmes", rappelait-elle.
L'affaire hérissait aussi Facebook. Le groupe "L'affiche officielle de la Marche des Fiertés parisienne 2011 est infecte" fustigeait l'emploi du coq, "un mâle, un vrai", "symbole de la France, la bête qui chante encore les deux pieds dans la merde". Elle estimait que l'affiche "fait peur" et "n'inspire qu'exclusion, nationalisme, souverainisme, racisme".
Ce qui n'empêchait pas certains commentaires de s'interroger sur une certaine honte de la "communauté LGBT" à assumer ses "folles".
L'universitaire Marie-Hélène Bourcier, inscrite comme co-administratrice du groupe "L'affiche officielle de la Marche des Fiertés parisienne 2011 DOIT DEGAGER", dénonçait quant à elle "l'homonationalisme" et interpellait l'Inter-LGBT qui a fait réaliser l'affiche: "Ayez donc les couilles de faire une marche strictement politique comme à Londres et qui se termine dans un endroit festif et politique comme Londres a su le faire"!
L'association Lesbiennes of Color (LOCs) considérait elle aussi que l'affiche de la Marche des fiertés 2011 présentait un "caractère raciste et pétainiste" et rappelait un slogan féministe des années 1970: "Ni coq gaulois! Ni poules pondeuses!". Les LOCs reprochaient à la soixantaine d'associations de l'Inter-LGBT d'avoir opté pour une représentation "raciste, androcentrée, blanche, partisane" et parlaient de "lepénisation" des esprits. Elles demandaient le retrait de l'affiche.
Mais Nicolas Gougain, porte-parole de l'Inter-LGBT, juge la polémique "ridicule et infondée". "Le coq n'est pas la propriété de l'extrême droite", explique-t-il dans "Libération", soutenu en ce sens par Gilles Bon-Maury, président d'HES (Homosexualités et Socialisme). "Le but c'est d'alerter sur notre mot d'ordre: 'Pour l'égalité, 2011, je marche, 2012, je vote'", insiste Gougain.
Car, qu'on aime ou pas l'affiche 2011 de la Marche des fiertés de Paris, il ne faudra pas oublier le 25 juin en battant le pavé ce que disait Desproges: "L'adulte ne croit pas au père Noël. Il vote."
mercredi 23 juin 2010
Toutes à la Marche des Fiertés à Paris
Des dizaines de milliers de lesbiennes, gays, bi et transgenre sont attendus à Paris le samedi 26 juin pour la Marche des fiertés LGBT 2010. Le mot d'ordre: "Violences, discriminations: ASSEZ! Liberté et égalité, partout et toujours".
Les chars partiront à 14h de Montparnasse et finiront leur parade place de la Bastille, où l'Inter-LGBT organise un grand concert gratuit à partir de 16h. Des DJ donneront le ton et des personnalités s'exprimeront sur la lutte contre les discriminations. Les organisateurs de l'ex-Gay Pride revendiquent plus de 700.000 participants à Paris en 2009, qui ferme traditionnellement toute une série de Marches à Lille, Bordeaux, Rennes, Caen, Strasbourg, Biarritz, Toulouse...
Pour celles qui ne voient pas l'intérêt d'y aller, rappelons qu'être lesbienne en France aujourd'hui c'est aussi ne pas avoir le droit de se marier, d'adopter un enfant en couple ou d'avoir accès à la procréation médicalement assistée (PMA). C'est encore trop souvent la dissimulation et le mensonge, la peur et la solitude.
La Lesbienne invisible a dressé une liste d'arguments plus que convaincants pour le fanzine Barbieturix: il y est question de droits, de rencontres, de coming-out et d'éclate. De notre vie, quoi.
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lundi 29 juin 2009
Liza Minelli en tête de la Marche des Fiertés 2009 à Paris
La Marche des Fiertés LGBT 2009 a rassemblé entre 200.000 (selon la police, qui a aussi évoqué plus tard 500.000) et 700.000 lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels et leurs amis samedi 27 juin à Paris (voir nos photos). Avec une guest-star surprise: Liza Minelli.
Quarante ans après la naissance du mouvement d'émancipation gay dans les émeutes de Stonewall à New York, la parade était placée sous le double signe de l'anniversaire et de l'avenir, de la fête et de la revendication politique et citoyenne, avec pour mot d'ordre "1969–2009: Fier-e-s de nos luttes, à quand l’égalité réelle?"
Marraine imprévue de l'ex-Gay Pride, Liza Minelli a profité de ce qu'elle venait se produire à Paris pour donner le coup d'envoi de la manifestation, le poing levé, aux côtés d'un Bertrand Delanoë visiblement aux anges.
Les dizaines de chars colorés ont défilé de Montparnasse à la Bastille sous un soleil complice des torses nus et des corps bariolés dansant sur les rythmes pop ou technos des sonos saturées. L'ambiance et les rires n'ont pas éclipsé pour autant les revendications portées par les participants: reconnaissance de l'homoparentalité, lutte contre la lesbophobie et la discrimination des LGBT au travail, statut des trans, mariage homosexuel...
Seul à-coup dans le parcours: le blocage, comme l'an dernier, du char de GayLib par les Panthères roses, qui jugent incompatible la lutte pour l'égalité des droits LGBT et l'affiliation du mouvement à la très peu homophile UMP du président Sarkozy.
Des militants du groupe se sont assis devant le char dont la sono poussée à fond peinait à couvrir les sifflets, au grand dam d'Hervé Gasteau, vice-président de GayLib, qui, interrogé par LToutes, a souligné l'importance pour lui d'oeuvrer au sein même du parti au pouvoir. "Y a du travail à faire, on le fait", a-t-il expliqué.
Chez les Verts, ardents avocats des droits LGBT, la responsable de la commission féminisme a rappelé que l'autorisation de participer au défilé était donnée par la cinquantaine d'associations membres de l'Inter LGBT (dont les Verts). "A partir du moment où l'organisation de la manifestation a accepté GayLib, ce n'est pas à nous de dire oui ou non", a déclaré Arlette Zylberg à LToutes. Et d'ajouter qu'"il y a du travail à faire à l'UMP" pour l'égalité des droits LGBT, alors si des sympathisants de droite veulent s'y atteler, "qu'ils y aillent! Qu'ils y aillent!"
Quarante ans après la naissance du mouvement d'émancipation gay dans les émeutes de Stonewall à New York, la parade était placée sous le double signe de l'anniversaire et de l'avenir, de la fête et de la revendication politique et citoyenne, avec pour mot d'ordre "1969–2009: Fier-e-s de nos luttes, à quand l’égalité réelle?"
Marraine imprévue de l'ex-Gay Pride, Liza Minelli a profité de ce qu'elle venait se produire à Paris pour donner le coup d'envoi de la manifestation, le poing levé, aux côtés d'un Bertrand Delanoë visiblement aux anges.
Les dizaines de chars colorés ont défilé de Montparnasse à la Bastille sous un soleil complice des torses nus et des corps bariolés dansant sur les rythmes pop ou technos des sonos saturées. L'ambiance et les rires n'ont pas éclipsé pour autant les revendications portées par les participants: reconnaissance de l'homoparentalité, lutte contre la lesbophobie et la discrimination des LGBT au travail, statut des trans, mariage homosexuel...
Seul à-coup dans le parcours: le blocage, comme l'an dernier, du char de GayLib par les Panthères roses, qui jugent incompatible la lutte pour l'égalité des droits LGBT et l'affiliation du mouvement à la très peu homophile UMP du président Sarkozy.
Des militants du groupe se sont assis devant le char dont la sono poussée à fond peinait à couvrir les sifflets, au grand dam d'Hervé Gasteau, vice-président de GayLib, qui, interrogé par LToutes, a souligné l'importance pour lui d'oeuvrer au sein même du parti au pouvoir. "Y a du travail à faire, on le fait", a-t-il expliqué.
Chez les Verts, ardents avocats des droits LGBT, la responsable de la commission féminisme a rappelé que l'autorisation de participer au défilé était donnée par la cinquantaine d'associations membres de l'Inter LGBT (dont les Verts). "A partir du moment où l'organisation de la manifestation a accepté GayLib, ce n'est pas à nous de dire oui ou non", a déclaré Arlette Zylberg à LToutes. Et d'ajouter qu'"il y a du travail à faire à l'UMP" pour l'égalité des droits LGBT, alors si des sympathisants de droite veulent s'y atteler, "qu'ils y aillent! Qu'ils y aillent!"
mardi 23 juin 2009
GayLib contesté à la Marche des Fiertés
Le char de GayLib participera bien à la Marche des Fiertés le 27 juin 2009 à Paris, placée sous le thème de "l'égalité réelle" pour les lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels. L'Inter LGBT n'envisage pas d'exclure de cette manifestation unitaire le mouvement associé à l'UMP, malgré les protestations des Panthères roses qui dénoncent dans une lettre ouverte l'homophobie et la transphobie de ce parti et du gouvernement qui en est issu.
"Aucune des 50 associations de l'Inter LGBT n'a avancé l'idée qu'on puisse exclure GayLib de la Marche", déclare à LToutes le porte-parole de l'organisation, Philippe Castel pour qui "l'association et le parti politique ne sont pas forcément la même chose", comme le montrent certaines déclarations critiques de GayLib sur les positions du gouvernement et de la majorité dans les questions LGBT.
Les Panthères roses, dont les militants avaient bloqué le char GayLib avec Act Up à la Gay Pride 2008, posent cependant "une question importante qui mérite qu'on en discute", ajoute Philippe Castel, "car GayLib et l'UMP ont un lien très fort" et que l'Inter LGBT "attend des annonces" du gouvernement après plusieurs rencontres ces derniers mois.
Doit-on exclure de la Marche tous les sympathisants de partis refusant l'égalité des droits LGBT mais représentant leurs aspirations dans d'autres domaines de la politique, ou faut-il lutter de l'intérieur?
La vice-présidente de GayLib, Anne Boring, défend la démarche de son mouvement, qui veut faire bouger l'UMP "petit à petit", "en travaillant au quotidien avec les élus qui font avancer la lutte contre l'homophobie". "On fait un travail assez important au sein de l'UMP, qui nous prend du temps, qui nous vaut parfois des insultes au sein de l'UMP, c'est frustrant de lutter pour se faire accepter par certaines associations LGBT", explique-t-elle, interrogée par LToutes.
"On est de droite et on veut l'égalité pour tous les LGBT", insiste Anne Boring, qui dit avoir lancé un appel à la discussion aux Panthères roses et à Act Up Paris. "On aimerait bien faire en sorte que la question LGBT ne soit plus une question de gauche ou de droite", ajoute-t-elle.
D'autres formations politiques sont elles aussi représentées à la Marche des Fiertés, mais toutes sont marquées à gauche et revendiquent, avec plus ou moins de fermeté, l'égalité des droits pour les lesbiennes et gays: le Parti socialiste, les Verts, le Parti communiste.
Toutes font en outre partie de l'Inter LGBT, contrairement aux Panthères roses et à GayLib, qui ont entamé les démarches d'adhésion par le passé mais ont été refusées ou ont renoncé avant le verdict. "Je pense que GayLib et les Panthères roses ont des choses à apporter à l'Inter LGBT", estime aujourd'hui Philippe Castel.
"Aucune des 50 associations de l'Inter LGBT n'a avancé l'idée qu'on puisse exclure GayLib de la Marche", déclare à LToutes le porte-parole de l'organisation, Philippe Castel pour qui "l'association et le parti politique ne sont pas forcément la même chose", comme le montrent certaines déclarations critiques de GayLib sur les positions du gouvernement et de la majorité dans les questions LGBT.
Les Panthères roses, dont les militants avaient bloqué le char GayLib avec Act Up à la Gay Pride 2008, posent cependant "une question importante qui mérite qu'on en discute", ajoute Philippe Castel, "car GayLib et l'UMP ont un lien très fort" et que l'Inter LGBT "attend des annonces" du gouvernement après plusieurs rencontres ces derniers mois.
Doit-on exclure de la Marche tous les sympathisants de partis refusant l'égalité des droits LGBT mais représentant leurs aspirations dans d'autres domaines de la politique, ou faut-il lutter de l'intérieur?
La vice-présidente de GayLib, Anne Boring, défend la démarche de son mouvement, qui veut faire bouger l'UMP "petit à petit", "en travaillant au quotidien avec les élus qui font avancer la lutte contre l'homophobie". "On fait un travail assez important au sein de l'UMP, qui nous prend du temps, qui nous vaut parfois des insultes au sein de l'UMP, c'est frustrant de lutter pour se faire accepter par certaines associations LGBT", explique-t-elle, interrogée par LToutes.
"On est de droite et on veut l'égalité pour tous les LGBT", insiste Anne Boring, qui dit avoir lancé un appel à la discussion aux Panthères roses et à Act Up Paris. "On aimerait bien faire en sorte que la question LGBT ne soit plus une question de gauche ou de droite", ajoute-t-elle.
D'autres formations politiques sont elles aussi représentées à la Marche des Fiertés, mais toutes sont marquées à gauche et revendiquent, avec plus ou moins de fermeté, l'égalité des droits pour les lesbiennes et gays: le Parti socialiste, les Verts, le Parti communiste.
Toutes font en outre partie de l'Inter LGBT, contrairement aux Panthères roses et à GayLib, qui ont entamé les démarches d'adhésion par le passé mais ont été refusées ou ont renoncé avant le verdict. "Je pense que GayLib et les Panthères roses ont des choses à apporter à l'Inter LGBT", estime aujourd'hui Philippe Castel.
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jeudi 7 mai 2009
Moscou interdit la Gay Pride de l'Eurovision
"Il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais de Gay Pride à Moscou!" Les associations gays, lesbiennes, bi et transgenres (LGBT) russes se sont vu refuser jeudi l'autorisation de manifester le 16 mai dans la capitale à l'occasion de la finale de la très gay-friendly Eurovision. GayRussia a fait savoir que la Marche des Fiertés aurait quand même lieu comme prévu.
Le chef de cabinet du maire de Moscou Youri Loujkov a invoqué des raisons de sécurité mais aussi "l'absence de considération (du mouvement LGBT) pour les opinions de la majorité" russe. De telles manifestations, a expliqué Sergueï Tsoï cité par l'agence de presse Ria-Novosti et le site GayRussia.com, "non seulement elles détruisent les fondations morales de notre société mais en plus elles provoquent délibérément des troubles qui menacent la vie et la sécurité des Moscovites ainsi que des invités dans la capitale".
Et "ce n'est pas seulement la position du gouvernement de Moscou", a assuré ce responsable municipal, "les représentants de tous les groupes religieux, et par-dessus tout l'église orthodoxe, de même que les leaders de la jeunesse, les organisations d'anciens combattants et les sociétés multiculturelles s'y sont fortement opposées".
Le maire de Moscou, Youri Loujkov, avait qualifié de "sataniques" les Marches des fiertés. La ville a interdit toute Gay Pride depuis trois ans, et la manifestation organisée sans autorisation en juin 2008 s'est soldée une grosse dizaine d'interpellations. Des députés européens ont demandé à Moscou de changer de position, en vain.
L'organisateur de la Slavic Pride, Nikolaï Alexeiev, a réaffirmé jeudi à Ria Novosti que la Marche aurait lieu, au nom de l'égalité des droits de tous les citoyens, et que les autorités porteraient la responsabilité d'éventuels incidents.
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